«On s’attendait à avoir des subventions. En foresterie, ça fait longtemps qu’ils nous promettent toute sorte de choses, il me semble que ça aurait été le temps de régler tout ça […] Je pense que ce sont des défis que nos ministres ne comprennent pas», souligne l’entrepreneur forestier et administrateur à la Coopérative forestière du Haut Saint-Maurice, Martin Grenon.
Les pertes dépassent les 100 000 $ pour cet entrepreneur de près de 25 ans d’expérience qui fournit du travail à une dizaine d’employés. Actuellement, l’entreprise doit se contenter d’opérer avec la moitié de sa machinerie. Pour lui, comme pour plusieurs autres, le défi c’est l’argent.